GAYA SCIENZA, UN ELEVAGE GRANDEUR NATURE...
Parce qu’un berger australien est avant tout un chien de travail, c’est-à-dire un chien qui aime plus que tout les interactions avec ses maîtres, ses congénères et la nature, notre élevage a pour objectif de donner à chacun de nos compagnons un cadre de vie en cohérence avec ses aspirations les plus profondes, car seul un chien équilibré peut donner naissance à des chiots équilibrés.
Ici, il n’y a pas de box dans lesquels les chiens meurent d’ennui et développent des troubles du comportement, il n’y a pas « d’aire d’ébat » dans lesquels de pauvres bêtes en un temps limité tentent de dépenser le surcroît d’énergie qu’elles ont accumulée derrière leurs barreaux… Bref, la vie de nos berger australien est aux antipodes d’une vie carcérale qui est malheureusement le lot de beaucoup trop de chiens.
Ici, les chiens vivent en famille, ils sont notre famille. Les femelles retraitées vivent avec nous et apportent au groupe l’expérience des anciens, ils partagent tous notre vie, nos sorties, nos vacances. Les chiots naissent dans la maison et y demeurent leur premier mois. Cela peut sembler un détail, mais il n’en est rien lorsque l’on sait qu’un chiot né sourd et aveugle, et qu’il n’ a donc durant les quinze premiers jours de sa vie, qu’un rapport olfactif au monde. L’univers olfactif humain sera donc inscrit au plus profond de lui et constituera un socle inébranlable de sociabilité.
Nous ne sortons pas en exposition canine, car même si nous respectons tout-à-fait cette pratique, nous préférons aux concours de toilettage, les concours de circonstances qui nous offrent la possibilité de voir détaler un chevreuil, un lièvre, au détour d’un chemin. Nous pensons que nos chiens préfèrent arpenter la campagne que les moquettes des rings de compétitions, et cela tombe bien, car nous le préférons également ! Question de goût...
Les promenades sur les sentiers innombrables des Monts d’Ambazac sont leur quotidien, la meute, sans laisse, découvre à chaque pas un univers olfactif dont nous ignorons tout, mais qui parfois les transporte dans un état d’enthousiasme tel qu’il y a tout lieu de penser que les en priver serait un sacrilège.
Certes, ce type de gestion d’élevage a des revers : nous ne pouvons pas augmenter indéfiniment sa taille et donc nos revenus, la vie en meute provoque immanquablement des risques de conflits et de blessures, les promenades en liberté des risques de rencontres inopportunes avec la faune locale (sangliers, renards…), avec des parasites, des agents pathogènes, etc.
Nous assumons tous ses risques en mettant en place des actions spécifiques, des traitements préventifs accrues, une éducation adaptée afin de les limiter. Il s’agit pour nous tout naturellement du choix de la cohérence avec nos valeurs.
Au plaisir de vous rencontrer pour vous faire partager notre passion pour cette merveilleuse alliance de sensibilité, d’affection, et d’énergie qu’est le berger australien.
Ici, il n’y a pas de box dans lesquels les chiens meurent d’ennui et développent des troubles du comportement, il n’y a pas « d’aire d’ébat » dans lesquels de pauvres bêtes en un temps limité tentent de dépenser le surcroît d’énergie qu’elles ont accumulée derrière leurs barreaux… Bref, la vie de nos berger australien est aux antipodes d’une vie carcérale qui est malheureusement le lot de beaucoup trop de chiens.
Ici, les chiens vivent en famille, ils sont notre famille. Les femelles retraitées vivent avec nous et apportent au groupe l’expérience des anciens, ils partagent tous notre vie, nos sorties, nos vacances. Les chiots naissent dans la maison et y demeurent leur premier mois. Cela peut sembler un détail, mais il n’en est rien lorsque l’on sait qu’un chiot né sourd et aveugle, et qu’il n’ a donc durant les quinze premiers jours de sa vie, qu’un rapport olfactif au monde. L’univers olfactif humain sera donc inscrit au plus profond de lui et constituera un socle inébranlable de sociabilité.
Nous ne sortons pas en exposition canine, car même si nous respectons tout-à-fait cette pratique, nous préférons aux concours de toilettage, les concours de circonstances qui nous offrent la possibilité de voir détaler un chevreuil, un lièvre, au détour d’un chemin. Nous pensons que nos chiens préfèrent arpenter la campagne que les moquettes des rings de compétitions, et cela tombe bien, car nous le préférons également ! Question de goût...
Les promenades sur les sentiers innombrables des Monts d’Ambazac sont leur quotidien, la meute, sans laisse, découvre à chaque pas un univers olfactif dont nous ignorons tout, mais qui parfois les transporte dans un état d’enthousiasme tel qu’il y a tout lieu de penser que les en priver serait un sacrilège.
Certes, ce type de gestion d’élevage a des revers : nous ne pouvons pas augmenter indéfiniment sa taille et donc nos revenus, la vie en meute provoque immanquablement des risques de conflits et de blessures, les promenades en liberté des risques de rencontres inopportunes avec la faune locale (sangliers, renards…), avec des parasites, des agents pathogènes, etc.
Nous assumons tous ses risques en mettant en place des actions spécifiques, des traitements préventifs accrues, une éducation adaptée afin de les limiter. Il s’agit pour nous tout naturellement du choix de la cohérence avec nos valeurs.
Au plaisir de vous rencontrer pour vous faire partager notre passion pour cette merveilleuse alliance de sensibilité, d’affection, et d’énergie qu’est le berger australien.